C'est dans un cri de profonde douleur, dans la brûlure de la lave, dans le sel des larmes que Zègoua Gbessi Nokan chante sa révolution, sa "saison nouvelle".
Mais dans ces assauts répétés de désespoir, jaillit la fulgurance de l'espoir : espoir dans la liberté, espoir dans l'homme.
Oui, la poésie est, pour Zègoua Gbessi Nokan, un chant révolutionnaire. Et ce mot ici trouve à la fois son plein sens politique et son plein sens poétique…