Dans cet entretien, elle explique les raisons qui l'ont poussée à écrire l'œuvre et témoigne sa gratitude à la Côte d'Ivoire. Un pays, confesse t-elle, qui lui porte bonheur.
Le Patriote : Après de longues années passées hors de la Côte d'Ivoire, vous retrouvez à l'occasion du Salon international du livre d'Abidjan (SILA) et du prix Ivoire, un pays qui sort d'une crise profonde, qui panse ses blessures et tente de se réconcilier avec elle-même. Quel commentaire ?
Mariama Ndoye : D'abord, une réelle satisfaction de retrouver un pays qui se réconcilie avec lui-même que j'avais quitté le cœur gros en 2003. Ensuite, le fait d'assister à cette édition du SILA en Côte d'Ivoire qui était un réel défi pour les initiateurs avec à leur tête le ministre de la Culture et de la Francophonie. Un salon qui a été une parfaite réussite. Une double satisfaction donc pour moi. Je dirai même une consécration pour moi car ma carrière d'écrivain a débuté en Côte d'Ivoire (...)
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