Il est là, derrière les ouvreuses, à l'entrée de la chapelle des Pénitents blancs. Tenue traditionnelle sur le dos, le dramaturge burkinabè Aristide Tarnagda se fait discret malgré sa massive silhouette. Cherchant comme il peut une place parmi les spectateurs de son propre spectacle, Et si je les tuais tous Madame ?, qu'il présentait lors du prestigieux Festival d'Avignon avec son texte "Façons d'aimer", interprété par la comédienne Anne-Lise Heimburger dans le cadre d'une lecture organisée par RFI (...)
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Publié par Jeune Afrique, le 27 septembre 2013.