Jeune Afrique : Quels enseignements tirez-vous de cette trentième édition ?
Marie-Agnès Sevestre : C'était quelque chose d'assez fervent, d'assez concentré, d'assez fort sur le plan de l'envie. L'envie du public ou celle des artistes, d'être là, ensemble. Contrairement à ce qu'on peut imaginer dans d'autres festivals plus médiatisés, ici les gens ont envie de s'y retrouver et de se retrouver, de participer à l'élaboration d'un monde contemporain politique, artistique, citoyen (...)
[Lire la suite de l'entretien de Tshitenge Lubabu M.K. avec Marie-Agnès Sevestre]
Publié par Jeune Afrique, le 15 octobre 2013.