"Que Dieu protège les femmes" apparaît comme un cocktail détonnant où se retrouvent tous les ingrédients qui ont toujours fait figurer Biton dans le cercle "des écrivains" qui dérangent. En observateur averti d'une société en perdition, l'auteur, s'autorise, sous une forme attachante, attrayante, de tout dire des hommes et des femmes, de leurs détresses et de leurs joies.